mise à jour le 16
Juillet 2005
"LA
GRAVITATION QUANTIQUE,
LA GÉOMÉTRIE NON COMMUTATIVE, SUPERCORDES…"
par
Dominique LAMBERT
Physicien, Professeur à l'Université de Namur
LUNDI
11 JUILLET 2005
Le siècle
d'Einstein à l'UNESCO Paris
Photos : JPM. Pour
l'ambiance
Je ne propose que
des comptes rendus succincts de ces conférences, le site http://einstein2005.obspm.fr/indexp.html
devrait mettre en ligne le texte de toutes les conférences bientôt.
BREF COMPTE RENDU
Dominique Lambert,
est Professeur de Philosophie des Sciences au département de Sciences,
Philosophies et Sociétés des FUNDP-Namur.
Il se propose de
nous parler des extensions modernes de la Relativité.
Remarque
préliminaire : Ah, mes amis, j'ai atteint mes limites, j'ai décroché assez
rapidement au cours de cette conférence, aussi mes notes risquent d'être un peu
décousues. D'avance mes excuses.
La gravitation
quantique est en fait en germe dans la relativité générale (RG).
C'est pour lui la
"générativité" immédiate de la RG.
La courbure est
égale à la densité d'énergie matière plus un terme cosmologique.
Il faut définir la
métrique espace temps, c'est à dire la notion de distance pour passer d'un
point à un autre.
(trouvé sur ce
site une bonne explication de la métrique que je cite :
La métrique
d’un espace peut se définir comme les « ingrédients » mathématiques
qui déterminent la distance entre deux points dans cet espace. La métrique
étalonne l’espace. En géométrie euclidienne ces ingrédients sont figés
c'est-à-dire que la formulation de la distance entre deux points est identique
quelle que soit leur position dans l’espace. Il n’en est pas de même en
relativité générale qui définit une métrique comme étant
« malléable » ou « élastique » à la manière d’un
« matériau » en caoutchouc ou d’un fluide qui peut être
« étiré », « comprimé » voire même « tordu ».
La fuite des
galaxies - et par
là même le décalage vers le rouge - peut alors être interprétée comme la
manifestation concrète de « l’étirement » de la métrique de
l’espace-temps relativiste. En étendant les résultats obtenus à l’aide de notre
modèle du fil élastique à l’espace-temps, la constante de Hubble s’interprète
alors comme la valeur de l’expansion de l’espace-temps par unité de temps en
chaque point de l’Univers ! Pour donner un support visuel en deux
dimensions à l’expansion de l’Univers - qui s’effectue en trois dimensions - imaginons un ballon de baudruche que l’on
gonfle. La surface de la baudruche s’étire uniformément ce qui se traduit par
un éloignement relatif de chacun de ses points. Cette image procède du même
principe que le modèle du fil élastique : l’étirement du support
géométrique de référence.)
Il faut inventer
de nouvelles géométries qui offrent une extension du théorème de Pythagore
(extension de la métrique).
Comment décrire la
courbure.
Je m'aide de
quelques photos des diapos présentées, elles sont peut être plus explicatives
que mon texte.
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Le conférencier
définit ensuite l'holonomie liée à
la courbure et aux rotations.
Théorème de Weyl; alors là je
coule………….
En conclusion, la
relativité générale (non linéaire) ne se marie pas bien avec la mécanique
quantique (linéaire), mais elle a été un domaine fécond d'idées et de thèses
actuelles.
Voilà, ceux qui
ont compris mieux que moi peuvent me faire parvenir leurs notes que je
publierai à la suite.
POUR ALLER PLUS
LOIN :
Georges Lemaître,
de la cosmologie aux
mathématiques de Papy par D Lambert.
Publications
de D Lambert.
Définition d'une
métrique en
anglais et en
français.
Article pas mal
sur la gravitation et la relativité
C'est tout pour
aujourd'hui!
Bon ciel à tous
Jean Pierre
Martin www.planetastronomy.com